Françoise BONNEROT
Françoise BONNEROT

Germes

Pas besoin pour moi de me déplacer, ni de chercher une rupture avec le passé.

 

En temps de crise, je préfère un art recentré sur l’infime.

 

Plutôt que d’adhérer au spectaculaire

 

Dans des œuvres où la main disparait,

 

Je regarde dans ma cuisine, avec tendresse

 

Les fruits pourris qui renaissent.

 

Le voyage, pour moi, restera intérieur…

 

 

 

 

                                                                                         F.Bonnerot, le 05/06/2015

 

 

 

Version imprimable | Plan du site
© Francoise Bonnerot