C’est le mois de juin,
Et l’histoire se répète.
Dans l’espace intouchable,
Le bleu implacable,
Contre lequel se cogner.
Promenade dans le vent,
Trop fort pour un matin.
Dans un sursaut épuisant,
Devant: la réalité,
Le soleil dans les yeux.
S’éloigner à regrets
De la pensée magique.
Les rêves en fuite,
L’appareil à la main.
Des câbles dans l’azur.
Éviter de l’aimer.
Reborder le cœur.
Pour les corps sensibles,
La peau est un passage
Plus tendre qu’un orifice.