Alors réunir les circonstances
Par couches et recouches
Les arbres contemplés et les poissons consommés
La lumière
La pierre
La chair
L’éther
Et la pourriture
Garder le bois
Oublier la mer
Appels du lointain et manques du corps
S’accorder l’idée que c’est une même chose
Qu’on s’en fout du motif
Mordre le vide
Puisque l’image nous ment
La vilaine
La prendre à son propre piège
L’ingérer pour la renvoyer encore
Ses surfaces en écailles
Sont les viscères de mes rêves
F.Bonnerot le 21/04/2016